Portugal (Lionel)

Attendez le coup d'envoi

Cava y aller, j'vais me lancer voir

Une vie qui n'as pas toujours été la même

J e me présente : Luca Masinovic, 11 ans, travaille pour vivre & as quitter une pauvre vie minable en plein milieu de la guerre en Serbie. Je siege aujourd'hui à Rome, non pas dans un palace vue comment je formule ma phrase, mais plutot dans un palace . . . en Carton. Mes parents étant très pauvres, nous n'avions pas les moyens de nous payer
un abris, nous faisions donc avec les moyens du bord, même si la Bouff' ne manquait pas. Et pourtant, mon Père travaille tout les jours, se lève à 8h pour finir à 19h.. Pour ne gagner parfois rien.. Je pense que c'est sûrement à cause du faite que nous sommes clandestin et que les arnaques étaient donc fréquentes.

De là rien, nous souriais, jusqu'au jour où mes parents eurent enfin leurs papiers : Mon père nous nous payames le luxe d'un appartement, certes très petit mais dormir à l'abris des pluis & orages restent un grand luxe pour nous. J'aimais ma vie à Rome, de plus j'avais repris mes études, j'avais 14 ans à l'époque. Grâce aux aides de l'état, j'ai eu l'occasion d'être inscrit dans une équipe de football amateur. J'aimais regardé les matchs dans les televisions en exposition dans les magasins, ca m'as fut donc un grand plaisir de pouvoir jouer, j'essayais d'imiter mes idoles comme Platini ou surtout Pelé. Mais un jour arriva, un jour pas comme les autres, un jour Special.

Un contrat avec l'Udinesse

C e jour, c'est le jour où ma mère recut un appel. Un appel d'un homme très spécial, il proposa à ma mère un contrat.. N'y comprenant rien, ma mère passa à mon Grand Frère qui venait juste de sortir du boulot : Cette homme se nommait Luciano Solianossi, il proposa un rendez-vous à mon frère, un rendez-vous dans un Bar à l'autre bout de la ville : Il y ajouta que c'était très important, et que c'était concernant mon Avenir. Quand mon frère raccrocha, il s'approcha de moi en me demandant si j'avais quelque chose à me repprocher ... Je répondis que non : A contre coeur. En effet, j'avais la veille casser la vitrine d'un magasin, mais sans faire exprès, je jouai avec des amis, j'avais la peur dans le ventre : Mais dans ce cas là, pourquoi un 'contrat' ? Tout était floue dans ma tête.

J'accompagnis donc mon frère dans le bar en question. Après 45 minutes de marche, nous arrivâmes enfin à destination. Le bar était assez luxieu, jamais je n'eu l'occasion d'entrer dans un comme celui là. A l'interieur, un homme de grande taille, en costume noir et à cravate blanc me fit signe; il était assis au fond, tout seul sur une table à 3. Moi & mon frère nous avancames, et nous assires, et nous commencames à discuté. Au faites, j'avais tout faux : le type c'était pas un Flic ou un truc du genre, c'était un recruteur qui m'avait vue joué, et il disait que j'avais un énorme potentiel et qu'il pouvait faire de moi un futur grand joueur. Je sentis la joie de mon frère dans ses yeux. Il me demanda de le laisser, tout seul avec le type, je n'insista pas, et sortit dehors.

Une forte joie . . . fort Courte

V ous l'aurez cru ? Hein, vous l'aurez cru ceux qui m'arrive aujourd'hui il y as 6 ans lors de mon arrivée ? Aujourd'hui j'ai 17 ans, je joue avec l'Udinesse.. Au faite, le type qui était venue il y as 2 ans, j'lui avais donné mon accord pour un contrat, ne sachant pas à quoi je m'embarque . . . Et c'était un Superbe choix : aujourd'hui, je vie dans une maison, mon père a même un poste dans le cadre du nettoyage du stade de l'Udinesse, c'est pas si bien à première vue, mais il est bien payé vue qu'aujourd'hui nous vivons en maison. Je jouais dans l'équipe B, et j'étais le meilleur buteur de Serie D, j'avais une pointe de vitesse impréssionante d'après mon Coach. Ce jour de 31 Avril ne fut pas un 31 Avril comme tout les autres : je venais à l'entrainement, comme tout les autres jours, mais cette fois-ci, Fabiano Niesta s'approcha de moi : il me disa qu'il avait une bonne nouvelle pour moi.. Et il me dit que J'ALLAIS FAIRE MON PREMIER MATCH EN PRO. J'avais les larmes aux yeux, pensant à ceux que j'étais il y as pue de temps, car je n'oublierais jamais mes origines et ceux que je suis.. Mais ce n'était rien à coté de mon entré en match..


Aujourd'hui, l'Udinesse jouait pour ne pas être relégué. Nos adversaires étaient Sienne, 7e de Serie A. Le match commenca très mal, Sienne marque à la 38e et nous n'arrivames pas à nous rattraper.. 77e : je bougeais et jubilait sur mon banc, le coach me dit de me lever, et de m'approcher de lui. Il me tendit la main et me dit 'Félicitation' : Je compris automatiquement. Il fut sortir notre attaquant, et JE RENTRAIS. Et le meilleur est pour la fin : Sur le corner où je venais de rentrer, je placa une tête qui partis en pleine lucarne, avant de marquer sur Coup Franc à la 88e minute, nous avions gagné 2 à 1, l'Udinesse s'était maintenut grâce à moi !!

Mais le plus bête arriva : en sautant dans les vestiaires, je me tordus les deux chevilles, une ambulance arriva, pendant qu'ils me transportaient je tomba et me cassa en même temps la gueule dans les escaliers qui était juste à coté de moi.. Résultat : je ne pouvais plus joué au football. Ca va parraitre hillarant à la plus part des gens, mais je pleurais & pleurais sans m'arrêter. Mes parents décidames
de déménager en Angleterre car mon père y avait trouver un très bonne emploie là-bas, la douleur fut moin grande loins de l'Italie mais j'étais très nostalgique fâce à mon enfance et à mes premiers matchs en - de 17.

Un départ au Portugal très special

A ujourd'hui, j'ai 41 ans, et je suis coach d'une équipe de 5e division anglaise Oxford FC. Vous connaitrez surement le nom de la ville, reconnut pour son université, mais le club en est beaucoup moins reconnu. Le succès était présent : si j'vous dis que j'avais gagné la Coupe d'Angleterre ? Vous me croirez pas j'en suis sur et pourtant c'est vrais. Après ce triomphe, je recus un appel à l'étranger de chez moi. 'Salut, je suis le Président de la Fédération Portugaise' : Une blague surement & pourtant, 3 jours plus tard, j'étais dans le 1e avion pour le Portugal.

Que de belles impréssions à mon arrivée, n très beau pays, mais le mieux m'attendais : Rendez vous dans un restaurant de très haut luxe, hors de mes moyens certes mais faut s'en donner les moyens quand on doit rencontrer le président de la fédération portugaise.

Je signe au Portugal

O ui c'est belle & bien vrais.. Je suis le prochain champion du Monde, car je vais faire du Portugal LES Winners de cette coupes, WiWi, je suis l'actuel entraineur de l'équipe national de l'Italie.. mais bon, assez discuter, passons au vif du sujet.